Voir et être vu de nuit


Alors que les jours raccourcissent, je me suis fait la réflexion il y a quelques jours de l’importance de voir et d’être vu ! Ces derniers temps, il devient de plus en plus dangereux et difficile de marcher, de courir, de faire du vélo, du roller ou encore de la trottinette à la lumière naturelle.

Je suis sensible à ce sujet car j’ai, parfois, pour seuls créneaux en semaine des sorties tardives en rentrant le soir.

Même si votre tenue est agrémentée de certaines parties réfléchissantes, il est important de la compléter lorsque vous partez courir à la tombée de la nuit ou à la levée du jour.

Je Vois…… tu me vois………ils/elles me voient

Est-ce que je vois où je pose le pied…où je m’oriente ! c’est déjà une première question que je me pose pour ne pas me blesser, me fouler la cheville, tomber.

Ici à la campagne, je ne dispose pas de l’éclairage public de la ville. Je pars alors avec ma lampe frontale, mon gilet ou ma chasuble fluorescent ; et parfois mon brassard au bras (il en existe aussi pour les chevilles). C’est là le minimum !!!runners-751853_1280

Plusieurs lampes existent dans le commerce. Celle qui ne vous gênera pas sur la tête sera la bonne, il en existe à plusieurs prix et de très abordables, à vous de choisir ! Quant au gilet ou à la chasuble vous pourrez en trouver à partir de 10€.

Pour ma part j’utilise aussi, pour limiter encore plus le risque de ne pas être vu, un Equipement Individuel jaune devant rouge derrière d’une autonomie de 5 heures lorsque je suis en vélo pour accompagner mes groupes.

Petite astuce que j’ai apprise durant ma formation d’éducateur sportif : En groupe, si vous le pouvez, il est intéressant que les premiers s’éclairent en jaune sur le torse et les derniers en rouge dans le dos.

VOI…………là !

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